Le 6 novembre, P4HC+ a animé un atelier sur la réalisation d’une couverture sanitaire universelle avec équité avec des chercheurs de l’Université de New South Wales, de l’Institut national cambodgien de santé publique, de la GIZ, de l’Université de Khon Kaen, de la London School of Hygiene and Tropical Medicine et de l’Institut George pour la santé mondiale. Au cours de l’atelier, les résultats des recherches financées par le Conseil australien de la recherche et mises en œuvre par les institutions susmentionnées ont été présentés. Il s’agit notamment des résultats d’une enquête menée auprès de 5 000 ménages sur les comportements en matière de recherche de soins de santé, les dépenses personnelles et le financement de la détresse, d’une analyse de l’incidence des prestations, d’une évaluation de l’incidence du financement et d’un aperçu des tendances en matière de dépenses de santé catastrophiques et d’appauvrissement au cours de la période 2004-14. Des représentants de divers ministères et partenaires de développement ainsi que des chercheurs ont assisté à l’événement. Au cours de l’après-midi, une table ronde animée a été organisée sur les implications des résultats de l’étude, sur la manière dont ils peuvent faire progresser l’élaboration des politiques et l’équité au Cambodge et sur les besoins en matière d’études complémentaires.
Matériaux :
1. Exposé sur les comportements en matière de recherche de soins de santé présenté par le professeur associé Ir Por, Institut national de santé publique, Cambodge
2. Présentation sur l’équité et le système de financement de la santé au Cambodge par le professeur associé Virginia Wiseman, Université de Nouvelle-Galles du Sud et École d’hygiène et de médecine tropicale de Londres.
3. Présentation sur l’accès aux soins de santé et la protection contre les risques financiers (2004-2014) au Cambodge par Bart Jacobs, GIZ Social Health Protection Program & P4H
4. Présentation sur l’équité du financement de la santé et la couverture sanitaire universelle au Cambodge : progrès et défis par le Dr Augustine Asante, Université de Nouvelle-Galles du Sud.