À partir du 1er novembre 2023, les services de soins primaires se développent en vertu d’une nouvelle réglementation (Journal of Laws 2023, item 2226). Les patients atteints de prédiabète, d’hyperthyroïdie et de maladie rénale chronique ont accès à des soins coordonnés, y compris des tests UACR, des consultations de spécialistes, des conseils éducatifs et un soutien diététique.
Le ministère de la Santé annonce la mise en œuvre de changements importants dans les services de soins de santé primaires (SSP) à compter du 1er novembre 2023. Ces mises à jour, décrites dans le règlement du ministre de la Santé daté du 9 octobre 2023 (Journal officiel de 2023, point 2226), visent à étendre les soins coordonnés et à améliorer l’accès aux services de diagnostic pour les patients de diverses spécialités médicales.
Le champ d’application des soins coordonnés est élargi à de nouvelles catégories de patients, ce qui permet à un plus grand nombre d’individus de bénéficier de soins complets en temps utile. En diabétologie, les patients atteints de prédiabète bénéficieront de services améliorés, tandis qu’en endocrinologie, les patients souffrant d’hyperthyroïdie auront un meilleur accès aux soins coordonnés. En outre, un nouveau domaine de soins coordonnés a été créé pour le diagnostic et le traitement des maladies rénales chroniques. Dans le cadre de ce programme, les patients auront accès à :
- Conseils médicaux complets
- Tests de diagnostic UACR (rapport albumine/créatinine dans l’urine)
- Consultations de spécialistes
- Conseils éducatifs et diététiques
Ces mesures visent à améliorer la détection précoce, la planification du traitement et la gestion à long terme de la maladie.
Les médecins de premier recours seront désormais autorisés à effectuer un plus grand nombre de tests de diagnostic afin de rationaliser le processus de soins. Les médecins qui fournissent des services de soins de nuit et de vacances seront habilités à orienter les patients vers des tests de laboratoire.
En outre, les PCP peuvent désormais demander un ensemble élargi de tests d’allergie, ce qui accélère le processus de diagnostic. Les patients soupçonnés d’allergies n’auront plus à attendre d’être orientés vers un spécialiste, ce qui réduira les délais de diagnostic et de traitement. Si les résultats des tests sont négatifs, les PCP auront la possibilité de rechercher rapidement d’autres causes aux symptômes, ce qui facilitera un parcours diagnostique plus efficace et améliorera l’efficacité du traitement.
Ces changements sont établis par le règlement du ministre de la Santé du 9 octobre 2023 concernant les prestations garanties dans les soins de santé primaires (Journal officiel de 2023, point 2226).
Cette initiative reflète l’engagement du ministère à améliorer l’accès aux soins de santé, à promouvoir le diagnostic précoce et à améliorer la qualité des soins fournis dans le cadre du système de soins de santé primaires.