Le Kenya générera 90 milliards de shillings par an par l’intermédiaire de l’Autorité de santé sociale pour financer la couverture universelle des soins de santé, réduisant ainsi la dépendance à l’égard des prêts. Le gouvernement a également loué pour 200 milliards de shillings d’équipements médicaux et mobilisé 300 milliards de shillings pour la modernisation des soins de santé afin d’en améliorer l’accès et la qualité.
Le Kenya devrait générer environ 90 milliards de shillings par an par l’intermédiaire de la Social Health Authority (SHA) pour financer sa couverture sanitaire universelle (CSU), marquant ainsi une évolution vers l’autosuffisance en matière de financement des soins de santé et une réduction de la dépendance à l’égard des emprunts extérieurs. Ce modèle de financement mobilisé localement garantit que tous les Kényans contribuent équitablement tout en bénéficiant d’un accès égal aux services de santé.
En plus des fonds générés par le CSA, le gouvernement a obtenu pour plus de 200 milliards de shillings d’équipements médicaux par le biais d’un accord de crédit-bail, permettant aux hôpitaux d’accéder et d’utiliser des technologies modernes sans coûts initiaux importants. Les hôpitaux paieront l’équipement par le biais d’accords de service, ce qui garantira une prestation constante de soins de qualité. En outre, le gouvernement a mobilisé 300 milliards de shillings supplémentaires par le biais d’une planification intellectuelle et institutionnelle visant à renforcer la prestation de soins de santé en modernisant les infrastructures et les technologies hospitalières.
Ces investissements combinés soutiennent la stratégie de santé publique universelle du Kenya, en se concentrant sur l’augmentation de la capacité des hôpitaux, l’amélioration de la qualité des services et le rapprochement des soins de santé des communautés à travers les comtés. En s’appuyant sur des ressources internes et des mécanismes de financement innovants tels que le financement par le CSA et la location d’équipements, le Kenya vise à réduire sa dépendance à l’égard des prêts et de l’aide étrangère, favorisant ainsi un système de soins de santé plus durable et plus efficace. Ces réformes reflètent l’engagement plus large du gouvernement à rendre les soins de santé accessibles, abordables et efficaces pour tous les citoyens, en soutenant un avenir de services de santé complets et résilients dans tout le pays.