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Îles Salomon - P4H Network
Current Health Expenditure (CHE) as % Gross Domestic Product (GDP)4.8%CHE/GDP
Out-of-pocket (OOPS) as % of Current Health Expenditure (CHE)3.6%OOP/CHE
Domestic General Government Health Expenditure (GGHE-D) as % General Government Expenditure (GGE)10.5%GGHE-D/GGE
Gross Domestic Product (GDP), in constant (2020) US$ per capita1.6KGDP (USD)
Population (in thousands)707.9KPopulation

Les îles Salomon sont un archipel composé de plus de 900 îles regroupées en neuf provinces situées dans le “cercle de feu” du Pacifique. En raison de sa situation géographique, le pays est extrêmement exposé aux catastrophes naturelles telles que les tremblements de terre et les tsunamis. L’espérance de vie est passée de 57 ans en 1990 à 68 ans en 2014. La prévalence du paludisme et de la tuberculose a nettement diminué et la couverture vaccinale globale s’est améliorée mais reste variable.

La double charge de morbidité exige un investissement accru dans les systèmes de santé

Avec un taux de mortalité des enfants de moins de cinq ans relativement faible (28 pour 1 000 naissances vivantes) et un taux de mortalité néonatale légèrement supérieur à 12 pour 1 000 naissances vivantes en 2015, le pays est bien placé pour progresser vers les objectifs de développement durable liés à la santé d’ici à 2030. Cependant, les Îles Salomon souffrent de la “double charge de morbidité” classique, avec l’augmentation des maladies non transmissibles et la persistance des maladies transmissibles.

Faiblesse des dépenses totales de santé dépendance accrue à l'égard des sources extérieures

La part des dépenses de santé actuelles dans le PIB est de 4 %, 81 % des dépenses de santé étant financées par le gouvernement des Îles Salomon. Le paiement direct est faible (3,8 % du CHE), mais les dépenses de santé par des sources externes sont élevées (15 % du CHE). Après une décennie deAprès avoir apporté un financement extérieur substantiel au secteur de la santé, le financement extérieur a commencé à diminuer. Les augmentations substantielles du financement de la santé par le gouvernement sont limitées en raison des prévisions de croissance macroéconomique modestes, ce qui oblige le gouvernement à donner la priorité à un nombre limité d’interventions à fort impact.