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Les principaux régimes sociaux d’assurance maladie en Chine, l’UEMIS et l’URRMS, couvrent principalement les dépenses non liées aux hospitalisations, négligeant les coûts associés aux soins ambulatoires et aux médicaments. Une étude a révélé que plus de 60 % des participants avaient récemment eu recours à des services non hospitaliers, et que nombre d’entre eux avaient acheté des médicaments en pharmacie, mais que le remboursement par l’assurance était limité. Un sous-groupe important a encouru des dépenses importantes dépassant 1 000 RMB par mois, ce qui met en évidence les risques financiers, en particulier pour les personnes inscrites à l’URRMS. En outre, les maladies chroniques, l’âge avancé et les ressources financières limitées ont été identifiés comme des facteurs contribuant aux difficultés financières. L’étude plaide en faveur d’une réforme de l’ensemble des prestations d’assurance maladie afin d’inclure les coûts non liés aux hospitalisations et de mieux protéger les populations vulnérables.