JavaScript requis

Le site web de P4H est conçu pour fonctionner au mieux avec Javascript activé. Veuillez l'activer dans votre navigateur. Si vous avez besoin d'aide, consultez https://www.enable-javascript.com/

Financement de la santé pour les maladies non transmissibles : Analyse du paysage des pratiques et des défis dans la région de l'Afrique subsaharienne - P4H Network

Financement de la santé pour les maladies non transmissibles : Analyse du paysage des pratiques et des défis dans la région de l’Afrique subsaharienne

Cette analyse du paysage réalisée par le Réseau d’accélération du financement des MNT (FAN) examine les pratiques de financement de la santé et les défis liés aux MNT dans six pays exemplaires d’Afrique de l’Est, d’Afrique australe et d’Afrique de l’Ouest. En analysant la mobilisation, la mise en commun et l’achat stratégique des ressources, l’étude met en évidence les principales lacunes politiques, les obstacles systémiques et les possibilités de renforcer le financement national et externe, dans le but de parvenir à des soins plus équitables, plus efficaces et plus durables pour les MNT.

L’Afrique subsaharienne est confrontée à une double charge de morbidité : l’augmentation des taux de maladies non transmissibles (MNT) met à rude épreuve les systèmes de santé déjà très sollicités qui luttent encore contre les maladies infectieuses. Les maladies non transmissibles telles que les maladies cardiovasculaires, le diabète, les cancers et les maladies respiratoires chroniques représentent aujourd’hui plus d’un tiers des décès dans la région. Pourtant, malgré les besoins croissants, le financement de la santé pour les MNT reste très insuffisant. De nombreux pays n’allouent qu’une petite partie de leur budget de santé aux MNT, avec des lacunes importantes dans le financement externe, ce qui se traduit par des niveaux élevés de dépenses personnelles et un accès limité à des soins abordables et durables. Le rapport est réalisé en collaboration avec la Banque mondiale, Access Accelerated, Results for Development et l’AFIDEP.

Référence