La part des dépenses de santé publique dans le PIB du Sri Lanka, qui s’élève à environ 1,5 %, est faible par rapport aux normes internationales. Cette situation est aggravée par l’inefficacité de l’administration et de l’affectation des fonds. Un problème connexe est l’absence d’un système adéquat pour prévoir les besoins financiers à long terme. Actuellement, la comptabilité est effectuée sur la base d’une comptabilité de caisse obsolète, dans laquelle les dépenses ne sont enregistrées qu’une fois qu’elles ont été engagées.
L’établissement de priorités et l’allocation et l’utilisation efficaces des fonds disponibles sont essentiels pour répondre à l’évolution des besoins du Sri Lanka en matière de santé et de financement.
Des mécanismes de responsabilité transparents et bien développés sont importants pour prévenir le gaspillage et l’allocation inefficace des ressources. Des systèmes de comptabilité d’exercice doivent être adoptés pour garantir l’affectation de crédits budgétaires aux équipements médicaux nécessaires, aux installations de traitement et de soins, ainsi qu’à la formation du personnel de santé dans les domaines concernés, qui sont généralement des investissements à long terme et coûteux.
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Crédits d’image : Daily Mirror Sri Lanka
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