Cet article révisé par des pairs évalue la répartition de l’utilisation et des dépenses de santé à Maurice, où des services de santé gratuits sont fournis depuis des décennies, mais où l’indice de service de la couverture sanitaire universelle (CSU) reste relativement faible.
En utilisant l’analyse de l’incidence des prestations et l’analyse de l’incidence financière, l’étude examine la manière dont les prestations de soins de santé sont réparties entre les différents groupes de revenus.
Les résultats montrent que les services de santé publics à Maurice sont favorables aux pauvres, avec un indice de concentration (IC) de -0,26, tandis que les services du secteur privé favorisent les personnes plus aisées avec un IC de 0,27.
En outre, le financement des soins de santé est régressif, les groupes à faibles revenus supportant une charge financière plus importante par le biais des impôts et des paiements directs.
L’article conclut que les stratégies de financement de la santé devraient être revues afin de renforcer la protection financière des pauvres et d’améliorer la couverture de la santé publique universelle, conformément à l’objectif de développement durable n° 3.
En utilisant l’analyse de l’incidence des prestations et l’analyse de l’incidence financière, l’étude examine la manière dont les prestations de soins de santé sont réparties entre les différents groupes de revenus.
Les résultats montrent que les services de santé publics à Maurice sont favorables aux pauvres, avec un indice de concentration (IC) de -0,26, tandis que les services du secteur privé favorisent les personnes plus aisées avec un IC de 0,27.
En outre, le financement des soins de santé est régressif, les groupes à faibles revenus supportant une charge financière plus importante par le biais des impôts et des paiements directs.
L’article conclut que les stratégies de financement de la santé devraient être revues afin de renforcer la protection financière des pauvres et d’améliorer la couverture de la santé publique universelle, conformément à l’objectif de développement durable n° 3.