L’étude évalue le rapport coût-efficacité et l’impact budgétaire des programmes de vaccination contre le papillomavirus pour les filles de dix ans au Kenya, alors que le pays passe du soutien de Gavi, l’Alliance du vaccin, à celui de l’OMS.
À l’aide d’un modèle de cohorte statique, elle compare quatre vaccins (CECOLIN, CERVARIX, GARDASIL-4 et GARDASIL-9) en termes de coût par AVCI évitée sur la période 2020-2029.
Les résultats montrent que la vaccination contre le VPH peut réduire de manière significative le nombre de cas de cancer du col de l’utérus et de décès, les différents vaccins présentant des niveaux de rentabilité variables.
Un financement public substantiel sera nécessaire pour maintenir des taux de couverture élevés, et une stratégie à dose unique pourrait être une option économique.