On estime à 1,48 million le nombre de personnes qui, au Kenya, basculent chaque année dans la pauvreté à cause des dépenses de santé non remboursées et des soins ambulatoires. Les Kenyans issus de ménages pauvres sont les plus vulnérables et connaissent des difficultés économiques chaque fois qu’un paiement de dépenses courantes est nécessaire. Dans cette étude, les chercheurs identifient les facteurs associés aux frais de consultation externe encourus par les ménages au Kenya. Les résultats montrent que les meilleurs prédicteurs des dépenses de soins ambulatoires au Kenya sont ceux liés à l’indice de richesse, à l’âge et au niveau d’éducation. Les résultats visent à informer des interventions politiques ciblées et efficaces.
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