Dans le cadre du programme national de développement de la santé pour les années 2020-2025, adopté en 2019 et transformé en projet national “Nation saine” en 2021, le Kazakhstan a prévu de construire 20 grands hôpitaux pour remplacer les nombreux hôpitaux vétustes existants dans tout le pays.
Cette année, le président de , M. Tokayev, a déclaré que les ressources destinées à ces 20 hôpitaux utilisant des mécanismes de partenariat public-privé devaient être révisées.
À la suite d’une étude, le ministère des soins de santé ( ) a décidé de construire 8 hôpitaux d’ici 2025 (5 hôpitaux universitaires et 3 hôpitaux multidisciplinaires).
Les 12 hôpitaux restants seront mis en service progressivement à partir de 2026, a indiqué le service de presse du Premier ministre.
Pour la première fois, le Kazakhstan déterminera le coût marginal de la construction des hôpitaux . C’est ce qu’a déclaré le ministre de la santé du Kazakhstan, le Dr Azhar Giniyat, lors d’une réunion gouvernementale qui s’est tenue le mardi 15 février, rapporte le correspondant de Kazinform.
“Aujourd’hui, un travail conjoint est en cours avec le ministère de l’industrie et du développement des infrastructures, le ministère de l’économie nationale et le ministère des finances pour déterminer le coût marginal (admissible) par mètre carré de la construction d’un hôpital, sans prendre en compte les dispositifs médicaux. En outre, pour éviter les espaces inutilement grands, une norme est en train d’être établie pour la surface maximale par lit, et un modèle financier optimal est en cours d’élaboration pour optimiser les coûts des 8 projets de construction d’hôpitaux annoncés”, a déclaré le ministre Azhar Giniyat.
“Le travail ci-dessus permettra de développer une approche unifiée et de choisir la meilleure option pour mettre en œuvre le programme national de construction d’hôpitaux. La priorité est donnée à la construction d’hôpitaux universitaires modernes afin d’attirer les meilleurs talents du monde académique et de respecter la trinité des principes d’éducation, de science et de pratique clinique”, a conclu le ministre des soins de santé.
Source : Kapital.kz Kapital.kz
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